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Maitre Lee
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18 novembre 2005

Deuxième rencontre

Bonjour à tous,

Shanane, tu as remarqué mon souci, je ne suis pas à l’aise car c’est Lucienne qui m’a contacté, et ce n’est pas moi qui dirige pour le moment.

Il va falloir que je me reprenne. Mais lundi je ne suis pas arrivé à tout maîtrisé.

Donc lundi dernier j’ai téléphoné à Lucienne vers 11h pour lui dire que j’allais arriver. Je voulais qu’elle soit en tenu sexy, et qu’elle range tous ses jouets pour moi. Les éléments qui serviront à la punir seront sur la table de la salle à manger, les éléments qui serviront à l’attacher seront sur la table de la cuisine et tout le reste sera sur son lit.

Vers midi moins le quart je sonne chez elle. Elle m’ouvre : super femelle. Bandante malgré ses cinquante ans.

Elle avait une nuisette qui emballait sa grosse poitrine et qui la mettait en valeur. Un collant porte jarretelle en un seul morceau et sur le collant un string assorti à la nuisette et aussi transparent qu’elle.

- Bonjour monsieur Lee, dit-elle en baissant la tête et en me faisant entrer.

- Bonjour Lucienne. Tu es très belle dans cette tenue.

Je vais, directement vers la table de la salle à manger, Lucienne sur mes talons. Une série impressionnante d’ustensile. Martinets de toutes tailles (et de tous manches….), raquettes de toutes tailles, plusieurs cravaches, jusqu'aux baguettes fines.

- Tu aimes tous ça lui demandais-je ?

- Non monsieur, je n’aime pas les baguettes, mais mon ancien maître m’avait obligé d’en acheter.

- Que reproches-tu aux baguettes ?

- C’est trop douloureux, ça laisse des marques trop longtemps, monsieur.

- Bien, je prends une baguette et je commence à la caresser avec. Je saurais ce qu’il faut utiliser lorsque tu mériteras une vraie punition, car je me demande si le reste n’ai pas une récompense pour toi. Passons à la cuisine.

J’avais toujours la baguette avec moi et je l’ai obligée à passer devant moi.

Sur la table il y avait de tout. De la corde, des chaînes, des menottes métalliques,  des menottes à scratch avec mousqueton, des baillons et des masques pour fermer les yeux. Il y avait aussi des poulies.

Ma baguette se baladait toujours contre son corps. Sur ses tétons, sur son ventre, sur ses fesses et entre ses cuisses.

- Très jolie collection. Je pris une chaîne et je la caressa avec. Je lui mis une menotte à chaque poignet et je lui dis d’en mettre une à chaque cheville.

- Bien passons dans ta chambre que je voie la suite.

Dans le couloir il y avait deux portes fermées.

- Ici c’est quoi ?

- Les toilettes, monsieur.

- Et en face ?

- La chambre de mon fils, mais je ne veux pas que l’on n’y aille.

- Ouvres cette porte !

- Monsieur, je ne veux pas qu’on y aille.

- Maintenant, c’est moi qui commande, je t’ai demandé d’ouvrir la porte, tu ne l’as pas fait. Maintenant je te demande d’ouvrir la porte et de rentrer dans la chambre. Quand je dis quelque chose c’est un ordre et ne réponds plus !

- Oui monsieur, dit-elle en ouvrant la porte et en entrant dans la chambre.

La chambre avait la particularité d’avoir un lit en hauteur et dessous il y avait un bureau. De quoi faire une cabane, mais je ne suis pas retombé en enfance.

- Restes là !

Je suis allé dans la cuisine prendre du matériel. Cordes et baillons. Lorsque je suis revenue, j’ai vu qu’elle m’implorait en silence de sortir de cette chambre. Il fallait que se soit moi qui commande. Sans rien dire, je lui ai masqué les yeux, bâillonné la bouche et attaché les deux mains à chaque extrémité du lit de telle sorte qu’elle me tourne le dos. Là, j’ai reculé ses pieds que j’ai attachés derrière elle.

- Je vais chercher une baguette pour te marquer les fesses lui dis-je en quittant la chambre.

Je lui  caressais ses fesses, son dos et ses jambes avec la baguette.

- Voilà tu vas avoir dix coups de baguette sur les fesses. Je veux deux choses. Premièrement je ne veux pas que tu râles, cries ou gémisses. Deuxièmement, je vais mettre ma main dans ton string et je veux sentir ton excitation. Si tu ne réussis pas mes deux désirs, je te donne vingt coups de baguette.

Pendant que je parlais, la baguette se frottait contre elle.

- Dis-moi si tu es d’accord ?

Sa tête fit un va et vient de bas en haut pour me signifier son accord.

Je recula la baguette et sans qu’elle le sache, je pris une cravache. Je commence par les fesses,  je monte, je descends, je remonte, je redescends. Là je me colle à elle et je vérifie son excitation. Je ne m’étais pas trompé. A peine ai-je commencé à jouer avec le manche du martinet, que j’avais pris également, qu’elle explosait de plaisir.

Je restais contre elle cinq minutes, la caressant, appréciant pleinement sa poitrine, tiraillant ses tétons durcis.

- Tu jouis vraiment trop vite. Je vais te montrer comment faire. Je la détache, je décale l’échelle au milieu du lit et je la rattache face à moi, le dos contre l’échelle.

J’ouvre sa nuisette en défaisant le nœud qu’elle avait entre les seins. J’enlevais le string qui tenait par deux nœuds sur les côtés. Le face à face m’a plus. Les yeux et la bouche toujours bâillonnés.

- Je veux que tu résistes à la jouissance. Chaque fois que tu es trop excitée, tu t’écartes et je te laisse un répit. J’aime te sentir excitée.

Elle disait oui avec la tête. Je commence à jouer avec son martinet préféré. Un peu de coup, un peu de caresse. Là elle commençait à être excitée, mais elle jouie presque immédiatement.

- Non tu es nulle lui dis-je.

Je l’ai détaché. Nous avons mangé. Elle se tenait en face de moi, assise sur mes genoux, ma fourchette et mon couteau nous faisaient manger tous les deux. Ils jouaient également à titiller Lucienne.

Après le repas, j’allais au salon avec elle.

- Je veux que tu arrives à maîtriser ta jouissance. Pour moi tu vas te caresser et des que tu seras trop excitée, tu caresseras tes seins, ton ventre en attendant que tu te calme un peu. Une fois un peu calmée, tu recommenceras à te caresser.

- Oui monsieur, je vais y arriver.

Elle se caressa, au bout d’un moment elle monta ses mains vers ses seins. Elle venait de comprendre. Lorsqu’elle recommença à se caresser et explosa de plaisir.

- Tu es nulle, lui lançais-je et je partis sans lui laissé dire un mot.

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Commentaires
R
complétement félé
M
Chère complicecoquine,<br /> j'espère que c'est dure, mais j'essaye de trouver d'autre moyen de pression pour arriver à me faire comprendre.<br /> Chère Shanane,<br /> la mayonnaise a du mal à prendre, mais je ne sais pas si c'est elle ou moi ou tous les deux.<br /> Je sais qu'elle essaye, mais moi aussi.<br /> Je sais qu'elle essaye, mais moi aussi...<br /> Je sais qu'elle essaye, mais moi aussi........<br /> Je sais qu'elle essaye, mais moi aussi............ (lol)<br /> J'aime faire rougir son corps, mais je ne cherche pas que ça et j'ai du mal à y arriver. Elle, moi, tous deux, telle est la question.....<br /> <br /> Lundi Je n'ai pu aller chez elle, j'étais deux jours sur Paris. Je lui est juste téléphonée, je vous raconterais......<br /> <br /> Salutations<br /> <br /> Lee
S
Oups, j'ai insisté un peu trop, c'est qu'il y avait un problème sur la machine.<br /> Mais non, cela n'est pas pour être punie, enfin je ne crois pas !
S
Tout simplement parce que la magie n'est pas au rendez vous. <br /> Quand deux personnes ne désirent pas la même chose ou regardent dans des directions opposées.<br /> <br /> Ne pas trouver ce que l'on cherche, attend, désire ...<br /> <br /> Lorsqu'en temps que soumise je me referme sur moi sans dire mot, le regard absent attendant la fin, c'est comme si je me levais et partais en claquant la porte ... il n'y a rien à ajouter, juste passer son chemin !<br /> <br /> Je ne retrouve pas le plaisir de vous lire, la petite excitation qui me fait venir chez vous en guettant des nouvelles de vous.<br /> Par contre je vois toujours votre humour coquin et attentionné en ayant échangé les instruments.<br /> <br /> Shanane
S
Tout simplement parce que la magie n'est pas au rendez vous. <br /> Quand deux personnes ne désirent pas la même chose ou regardent dans des directions opposées.<br /> <br /> Ne pas trouver ce que l'on cherche, attend, désire ...<br /> <br /> Lorsqu'en temps que soumise je me referme sur moi sans dire mot, le regard absent attendant la fin, c'est comme si je me levais et partais en claquant la porte ... il n'y a rien à ajouter, juste passer son chemin !<br /> <br /> Je ne retrouve pas le plaisir de vous lire, la petite excitation qui me fait venir chez vous en guettant des nouvelles de vous.<br /> Par contre je vois toujours votre humour coquin et attentionné en ayant échangé les instruments.<br /> <br /> Shanane
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