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Maitre Lee
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29 novembre 2005

Le troisième lundi

Lundi dernier, j’étais sur Paris. Quand je l’ai appelée, je dis :

- Bonjour, aujourd’hui je ne viendrais pas.

Après un petit blanc elle me dit qu’elle s’excusait, qu’elle avait pleuré toute la semaine, qu’il fallait que je lui pardonne, qu’il fallait que je repasse la voir.

Lorsqu’elle se tu, je lui dis que je n’étais pas sur Lyon et que c’était pour ça que je ne pouvais pas venir la voir. Pour se faire pardonner, il fallait qu’elle s’entraîne à se caresser sans jouir. Elle devait s’entraîner tous les soirs de la semaine.

Hier je l’ai appelée pour lui dire que j’arrivais et la façon dont je voulais la trouver.

A midi j’étais chez elle. Elle était une fois de plus ravissante. Sous-vêtements sexy avec un bas, porte jarretelles et combinaison.

- Es-tu arrivé à t’entraîner correctement, lui demandais-je ?

- C’est à dire que je me suis loupé une fois ou deux mais

- Combien de fois exactement lui dis-je en lui coupant la parole ?

- Trois fois monsieur dit-elle.

- On verra ça tout à l’heure. Là j’ai faim, on commence par manger et on verra après. Tu as intérêt a ce que se soit bon.

Je ne me faisais pas trop de soucis pour ça, ici la table était bonne.

Après le repas je lui dis de venir dans le salon.

- Voilà, je veux que tu me fasses plaisir, très plaisir. Tu va me faire jouir. Mais pour cela je veux que tu t’y prennes à ma façon. Tu vas commencer par me déshabiller. Chaque fois que tu enlèveras quelque chose, je veux que tout ton corps caresse ce que tu viens de dénuder et que tout ton corps caresse tout mon corps. Sache que je ne suis pas pressé, je veux que ça dure.

- Oui Monsieur dit-elle.

- Une fois que je suis nu, je veux que tu continues en te déshabillant. Il faudra que tu me caresse tout le corps avec la partie que tu viens de dénuder. Ensuite, une fois qu’on sera tous les deux à poils, tu te frotteras contre moi pour t’exciter, et lorsque tu seras suffisamment excitée, nous exploserons tous les deux ensembles.

- Oui monsieur. Je vais faire tout ce qui vous fait plaisir.

Je m’allonge par terre et je la laisse faire. Elle commence par s’occuper de ma chemise. Elle prenait son temps, le résultat fut très agréable. Puis très vite, elle alla trop vite. En deux coups de cuillère à pot je me retrouva à poils.

- C’est comme ça que tu prends ton temps, que tu me caresses partout avec tout ton corps ?

- Oh, je suis désolée dit-elle.

Elle recommence tranquillement, n’hésitant pas à s’occuper de mon sexe en érection.

Elle se frotte contre moi et beaucoup contre mon sexe. Avant même d’avoir commencé à se dénuder, je vois qu’elle jouie.

- Je suis désolée, mais c’était trop agréable. Vous savez faire l’amour monsieur, c’est divin.

- Continues et cette fois-ci, attends-moi pour jouir !

- Oui monsieur, mais c’était tellement bon.

Elle se reprend et elle commence son déshabillage. Elle se frotte encore contre moi, et surtout contre mon sexe. Quand elle se trouve en slip, elle jouie de nouveau.

- Monsieur, je n’ai pas put résister, c’était trop agréable. Quand c’est aussi agréable, c’est impossible de tenir.

- Tais-toi lui dis-je en me levant. Je lui enlève son slip et je l’a fait assoire à l’envers sur une chaise. Je lui attache les seins sur le dossier de la chaise, les bras le long du dossier, le plus bas possible. Je lui demande de se mettre debout et j’attache les pieds de Lucienne aux pieds arrière de la chaise. Elle avait le cul en l’air.

- Ou as-tu des baillons pour ta bouche et tes yeux.

- Dans ma chambre dans la penderie du fond à droite.

J’y vais, j’en profite pour m’habiller. Je lui bâillonne la bouche et les yeux.

- Tu es incapable de me faire jouir comme je te le demande. Je vais te massacrer le cul avec une baguette. Tu vas sûrement passer plusieurs jours à te souvenir de moi.

Et je me sers de la baguette sur son fessier. Il est complètement strié lorsque j’arrête.

- Je vais prendre ton trousseau de clés et je te laisse comme ça. Lorsque je reviens, je veux que tu m’attendes à quatre pattes à côtés de la porte, habillée comme lorsque je suis arrivé.

En disant ça je lui détacha une main et je suis parti.

Je suis revenu une heure après. Elle était à quatre pattes, les yeux en pleur et elle m’attendait.

- Tu ne dis surtout rien du tout. Je ne veux plus entendre ta voie aujourd’hui.

Je l’emmène dans le salon. La je la retourne, je lui fais mettre les deux mains sur la table, jambes légèrement écartées. Je soulève la combinaison, il est vrai que son fessier était très marqué. Je lui lèche les fesses. Puis, je commence à la caresser. J’ai passé un quart d’heure, une demi-heure à la caresser et à la déshabiller. Je sentais qu’elle était excitée, mais je ne m’approchais pas des points trop sensibles.

Toujours le dos tourné, je lui dis de se mettre à genoux et de se finir.

- Voilà ce que c’est de faire plaisir à sa partenaire. C’est pas sorcier quand même. Tu as intérêt à t’améliorer lundi prochain.

Et je suis parti en lui disant à lundi.

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Commentaires
L
Je sais etre correct de temps en temps. Donc à mercredi, quelle organisation !<br /> <br /> Lee
C
ah quand meme! cette fois ci vous n'etes pas parti sans un mot...vous commencez à bien l'aimer cette nouvelle soumise non?<br /> <br /> à mercredi prochain pour vous lire<br /> <br /> cc
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