Le dessert trop salé
Je me souviens d'un soir ou je mangeais avec Anne. L'entrée était délicieuse. Je ne sais plus quelle viande il y avait, mais elle était accompagnée de purée. Ce jour là, la purée était trop salée. Mais vraiment trop salée. Elle voulait tout jeter. Je l'obligeais à manger son assiette et je fis de même. Je l'obligeai à boire une bouteille complète d'eau pour faire passer le sel, 1 litre et demi. Je fis de même. Après avoir dissout le sel nous mangeâmes un dessert et un café.
Je la fit se déshabiller et passer sous la table qui n'était pas débarrassée. Elle était allongée sur le dos, les bras et les jambes contre les pieds de la table. Je lui attacha les quatre membres aux quatre pieds. La position était très agréable au regard, et cela l'excita assez vite. Je pris une plume qu'elle avait en décoration et je commença à la caresser avec la plume. Elle frissonnait à chaque passage. Dés que je m'approchais de l'intérieur de ses cuisses elle se crispait de plus en plus.
Elle me demanda d'arrêter car elle avait besoin d'aller aux toilettes. Evidement je ne lui donna pas l'autorisation. "Nous avons bu la même chose, tu n'iras aux toilettes qu'une fois que j'y serais aller. Je te déconseille également de te laisser aller car sinon je me laisserais également aller sur toi".
Je continuais à jouer avec la plume. Elle se contractait de plus en plus. J'attaquais pour la première fois la plante des pieds, là elle commença à se débattre. "Méfies-toi, la table n'est pas débarrassée, tu va casser quelque chose". Je faisais quand même très attention de ne pas me mettre du mauvais coté d'Anne. J'étais donc obliger pour la caresser avec la plume de la survoler. Lors de mes mouvements j'étais obligé de prendre appuis, et c'était évidement son ventre qui me servait d'appuis.
J'attaquais les aisselles. Là elle gigotait encore plus. Elle commençait à se plaindre de son ventre. Je la rassurais en lui disant que moi j’arrivais encore à tenir le coup. Je ne sais pas comment elle tenait encore, car j’avais moi aussi très envie de me vider.
Puis ce qui devait arriver arriva : le désastre. Elle se soulagea la vessie en pleurant. Je me suis allongé sur elle et je l’ai fais jouir. Se fut intense et rapide. Une véritable explosion volcanique.
Je lui ai détaché le bras gauche. Je lui ai dis de se dépêcher de nettoyer ses cochonneries. Je lui ai donné l’ordre de nettoyer d’une certaine façon et je suis aller me soulager dans les toilettes.
Lorsque je me suis mis dans le fauteuil, je l’ai regardé œuvré dans la cuisine. Puis après une douche elle est venue contre moi et elle m’a dis dans l’oreille "c’était magnifique."
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